"...Aucun éditeur n'oserait l'imprimer et l'osât-il, le livre ne tarderait pas à être étouffé sous des astreintes. La publication se trouverait donc arrêtée net. Nous le regrettons très vivement, car, je le répète, les droits d'auteur auraient pu grossir notablement le capital de l'Académie ..."
Un jour viendra où le miracle s'accomplira. Mais à une date des plus lointaines : "Il est probable que le jour où paraîtront les Mémoires des frères Goncourt, nous serons tous les dix dans le sépulcre", ajoute Rosny aîné. Quand à faire un triage ...."Goncourt ne nous y a pas autorisé...", écrit-il.
Article paru dans le journal "Paris Soir du 11 février 1924".
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